Couteau original basque au caractère bien trempé, le Kaskarot ne laisse pas indifférent. Créé en 2008, il est le fruit de la rencontre de Dominique et Catherine de la coutellerie "La Civette" avec l’artisan coutelier Pierre Marck. Son nom qualifiait autrefois les femmes des pêcheurs de la rue de la République. Il est devenu petit à petit le surnom des luziens. Sa lame trapue de type corsaire est frappée, sur son talon, d’un côté, du nom du couteau où la croix basque remplace malicieusement le S de Kaskarot, et de l' autre d’un soleil. Ces détails nous rappellent que Saint Jean de Luz est la « Cité des Corsaires » et que Louis XIV y célébra son mariage avec l’Infante Marie Thérèse d’Espagne en 1660 en l'église Saint Jean-Baptiste. Son manche galbé, à la forme ergonomique, confère une prise en main du couteau sûre et fort agréable. Sa forme en queue de poisson nous rappelle que l’économie de la ville reposait autrefois entièrement sur l’activité du port de pêche. Une fois fermé le couteau reste très élégant et d’une homogénéité parfaite,dans cette position la forme de la lame nous laisse entrevoir la silhouette de la "Rhune". Le « Kaskarot » comme le Basque, gagne à être connu
Il est présenté sur ces photos en corne de buffle, pointe de corne, genevrier et olivier.Les lames sont en 12C27, XC75, damas inox ou damas carbone
Couteau original basque au caractère bien trempé, le Kaskarot ne laisse pas indifférent. Créé en 2008, il est le fruit de la rencontre de Dominique et Catherine de la coutellerie "La Civette" avec l’artisan coutelier Pierre Marck. Son nom qualifiait autrefois les femmes des pêcheurs de la rue de la République. Il est devenu petit à petit le surnom des luziens. Sa lame trapue de type corsaire est frappée, sur son talon, d’un côté, du nom du couteau où la croix basque remplace malicieusement le S de Kaskarot, et de l' autre d’un soleil. Ces détails nous rappellent que Saint Jean de Luz est la « Cité des Corsaires » et que Louis XIV y célébra son mariage avec l’Infante Marie Thérèse d’Espagne en 1660 en l'église Saint Jean-Baptiste. Son manche galbé, à la forme ergonomique, confère une prise en main du couteau sûre et fort agréable. Sa forme en queue de poisson nous rappelle que l’économie de la ville reposait autrefois entièrement sur l’activité du port de pêche. Une fois fermé le couteau reste très élégant et d’une homogénéité parfaite,dans cette position la forme de la lame nous laisse entrevoir la silhouette de la "Rhune". Le « Kaskarot » comme le Basque, gagne à être connu
Il est présenté sur ces photos en corne de buffle, pointe de corne, genevrier et olivier.Les lames sont en 12C27, XC75, damas inox ou damas carbone
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